Avec l’automne qui arrive, les feuilles tombent, les températures fraichissent et il est temps de se mettre à couvert pour faire du sport en attendant que la neige arrive.
Comme vous les savez j’ai pas mal investi de mon temps cet été sur le tennis et il serait dommage de perdre cette mise en forme en ne faisant plus rien, oublie ça…
J’ai commencé la saison par faire du Badminton 2 fois par semaine, dépendamment de mes horaires au boulot. J’ai vraiment beaucoup de fun à jouer au « bad », la dernière fois que j’y avais joué c’était pendant mon BTS et j’avais déjà adoré ça. C’est bon pour le cœur et les jambes.
Malheureusement je n’ai pas de photos mais ça s’en viendra dans pas long (tout est relatif…).
Encore plus malheureux j’ai perdu platement certains de mes partenaires de bad ce qui fais que je ne peux que moins les voir et moins pratiquer, vraiment dommage…
Il faut quand même s’occuper… Avec Aline nous cherchions à la fin de la saison de tennis un sport d’intérieur à pratiquer histoire de maintenir un bon niveau d’activité physique en attendant la neige. Nous avons finalement opté pour le squash.
Je n’avais pratiqué le squash qu’a deux ou trois reprises jusque là avant d’attaquer la saison. Et bien je n’ai pas été déçu et là aussi j’adore ça.
Nous avons trouvé une formule au RA center d’Ottawa qui permet de venir jouer sans forcément souscrire au club qui est pas mal dispendieux.
Prêt au combat :
Pas grand’chose comme matériel, mais en plus de la raquette et la balle les lunettes optionnelles deviennent vite rassurantes quand les raquettes et la balle volent dans tous les sens. 20 dollars c’est pas si cher pour se sauver un œil je pense, sécurité avant tout…
Déjà un peu d’information sur le jeu : http://fr.wikipedia.org/wiki/Squash
Pour ceux qui ont la flemme de lire tout le pavé petit récapitulatif des règles :
C’est pas mal plus cardio que les autres sports que j’ai déjà pratiqué comme sports de raquettes, avec une pointe à 197 cardiofréquencemètre en main. C’est pas mal dur sur le système quand les échanges s’éternisent.
Mes partenaires :
Aline, que vous avez déjà vu à plusieurs reprises sur ce blog et qui avait eu la très bonne idée pour le squash pendant la saison hivernale.
Et Marc, qui travaille au même endroit que moi, sur les mêmes horaires et qui ne connaissait pas plus que moi le squash mais était tout même partant pour transpirer à grosses gouttes.
Au départ je ne savais pas qu’il y avait plusieurs duretés de balles et lorsque je regardais les autres membres du club jouer je trouvais qu’ils couraient moins comme des rats empoisonnés que nous. Finalement la balle de « 2 points jaunes » avec laquelle nous jouons est la plus tendre, c'est-à-dire moins rebondissante et celle qui fais donc courir le plus. Ce qui est assez déstabilisant lorsque l’on commence à jouer c’est que vu que l’on peut se servir des 4 murs qui nous entourent il faut s’habituer à taper une balle qui vient de derrière soi. Ça à l’air de rien mais c’est ce qui fais du squash un sport de raquette très différent des autres.
Ce qui est intéressant c’est que le badminton et le squash sont devenu pour moi plus que de simples alternatives en attendant les premières sorties de sport d’hiver.
Ah ben tiens, il commence à neiger…
