mercredi 9 juin 2010

WE montréalais : Amis, anniv’s, bouffe...


Cette année j’ai eu l’occasion de passer le WE à Montréal pour mon anniversaire. Invité par Emma et JP ça faisais un moment que je n’avais pas eu l’occasion de faire le déplacement car mon boulot avait été pas mal chronophage.

Tant qu’à faire autant que ce soit un WE où JP et aurions l’occasion de fêter nos anniv’ étant donné que le sien est 2 jours avant le mien (pas la même année hein…).

Ce qui est le fun quand je vais à Montréal, outre le fait de voir les amis bien entendu c’est que je suis toujours mes hôtes dans des restos qu’ils ont récemment testé et apprécié. C’est d’autant plus appréciable que je ne fais que de très bons restos et jamais les mauvais forcément vu que certains sont passés avant, pratique ^^.

Donc ce soir, grill coréen… Encore un type de resto que je n’avais pas essayé avant d’arriver à Montréal.


Pour l’occasion, il y avait bien entendu E&JP,


Les parents à JP qui avaient fait le déplacement à Montréal pour leurs vacances


Et bien sûr moi-même, toujours prêt à goûter à de quoi de bon…


Le grill coréen ce n’est pas compliqué, une plaque en fonte courbée avec un chauffage électrique dessous le tout au milieu de la table. On sent un peu la boucane et la viande en sortant mais j’imagine que c’est pas si pire par rapport à une pierrade avec le gras en moins sur le coréen.

Ce n’est pas tant le type de cuisson que la préparation des aliments qui fait la différence. Le bœuf est préparé en marinade que je n’avais jamais goûté auparavant et qui fais que ça fond vraiment dans la bouche.

Très bonne expérience « Coréenne », une de plus dans le domaine de la cuisine asiatique que j’apprécie de plus en plus. Entre les sushis / makis (qui constituent une part importante de mon régime alimentaire depuis que je les ai découvert ^^), la soupe vietnamienne phô, le amok cambodgien, il y en a vraiment pour tout les goûts et en plus c’est pas mal plus santé que la cuisine nord-américaine typique.

En parlant de malbouffe, prochaine étape : Suicide au sucre

Ceux qui me connaissent bien savent que je n’ai pas la dent très sucrée pour ne pas dire pas du tout. Le chocolat et les sucreries en général ne m’attirent vraiment pas.

Mais, encore une découverte de E&JP, un glacier artisanal. Donc après le resto coréen et un ou deux kilomètres de marche digestive autant se finir bien comme il faut.

Le principe est très efficace et rapide comme beaucoup de resto/services au Canada : Débrouille toi tout seul…



Derrière moi à droite vous pouvez voir une des machines qui permet de remplir sois même son pot avec un des 8 parfums à disposition. A gauche d’ailleurs vous pouvez deviner un gros « Servez vous ». Ensuite il n’y a qu’a se servir dans le buffet pour arroser copieusement la glace avec une vingtaine de sortes de friandises diverses et variés toutes plus sucrées les unes que les autres. Rien que de les sentir j’ai fais une montée de diabète.

Pour payer rien de plus simple, tu payes au poids en posant le pot sur une balance. Le tout est réglé en 3 minutes, si c’est pas de l’efficacité ça !!!



Emma trouvait ma glace immonde, ça parait pas sur la photo mais elle était pas mal chargée. Je me suis dis vu que je ne vais pas revenir avant un moment autant ne pas faire le déplacement à vide. Bon c’est sûr je n’ai pas bien dormi après mais une fois n’est pas coutume… ^^

Le lendemain pour le Samedi soir nous étions en plus accompagnés de Marie-Angela et Sébastien, Bérengère, Gilbert et Victoria. Tout ce petit monde autour d’une table (ben tiens…) dans un resto chinois très bien coté.



Le but du jeu étant de réussir à faire assez de place au fur et à mesure en vidant les plats pendant que les suivants arrivent. C’est fou toute la bouffe qui est passée sur la table, c’est souvent même trop dans le cas de certains restaurants asiatiques du quartier chinois de Montréal. En même temps quand tu as JP avec toi à table ça aide, un bon coup de fourchette ça fais plaisir…


C’est le moment de souffler les bougies…


mardi 8 juin 2010

Rando de printemps


Bon, comme d’hab je suis pas vraiment en avance sur mes posts c’est un euphémisme ^^.

Donc voilà quelques photos d’un bout de rando fait début Mai avec des amis rencontrés dans le groupe meetup Euro-cultures.



De droite à gauche : Luciana, Vincent et François.

Avec eux et d’autres que vous voyez et avez vu dans d’autres posts j’ai beaucoup de plaisir à faire diverses activités culturelles, physiques ou juste pour le plaisir de se retrouver.

Aujourd’hui au programme, une petite rando sur un sentier sur lequel nous étions déjà passés pendant l’hiver et dont j’avais déjà posté des photos. Ce n’est pas les chemins qui manquent dans le coin de Wakefield mais nous devions assister à un spectacle tout bizarre non loin de là ensuite…

Rando, donc : Forêt


Toujours de superbes points de vue bien que le fait de se trouver tout le temps en forêt bouche pas mal le paysage, ça les rends encore plus exceptionnels lorsqu’on trouve un point de vue dégagé…


Ensuite vu que c’est le printemps ça prends d’aiguayer un peu les chapeaux.


Rejoins par la suite par Aline nous avons assisté à un concert de musique et de danse provenant du Ghana. C’est étonnant qu’ils aient fais ça dans une salle plutôt habituée au groupes rock mais ça prends de tout pour faire un monde comme on dis…

Le spectacle était particulièrement, je cherche le bon mot pour être gentil… Déconcertant…

En effet, je n’ai pas du tout intégré le concept de danse africaine. Les jeunes (entre 14 et 20 ans je dirais) du groupe qui dansaient devaient être très performants mais j’avais juste l’impression que c’était toujours la même musique et toujours la même danse. Super long et plate… Dans la salle c’était pas mal l’euphorie mais après réflexion il apparaissait que c’était juste les parents des enfants qui dansaient qui se trouvaient dans la salle.

En tout cas j’espère que jamais mon enfant (on peut toujours rêver d’en avoir ^^) ne me demandera de participer à un club ou groupe dans ce genre je préfèrerai encore qu’il fasse du soccer, c’est tout dire…

C’est le principal intérêt de ce groupe en dehors de rencontrer de nouvelles personnes vraiment sympathiques, nous avons l’occasion de faire des expériences tout à fait inhabituelles.


lundi 7 juin 2010

Cata castors


Petit clin d’œil à mes parents qui m’avaient envoyé il y a quelque temps un jeu de société.


Pour faire court il m’était arrivé une grosse catastrophe dans un quartier de Buckingham dont j’étais responsable du réseau d’assainissement lorsque surintendant.

Il y avait un coup de pelle mécanique malheureux qui avait inondé une vingtaine de maisons avec de l’eau de rivière, je n’y étais pour rien mais c’est toujours dommage de travailler fort pour réparer les sottises d’autres…

Finalement il s’était avéré que le problème venait d’ailleurs. Il n’y a vraiment qu’au Canada ou un gars te dis tout à fait sérieusement : « En fait il y a un barrage de castors qui à cédé en amont. »

A la première fois qu’il me l’a dis j’ai juste cru qu’il se moquait de moi et j’ai faillis éclater de rire. Je me suis dis qu’il voulait faire une blague comme ça arrive parfois quand tu n’a pas l’accent québécois. J’ai dû lui faire répéter 2 ou 3 fois de diverses façons afin de bien être sûr d’avoir bien compris. C’est pas facile le monde de l’assainissement au Québec, il faut composer avec les castors lol.

Donc du coup mes parents m’avaient envoyé le jeu « Cata Castors » depuis la France ça collait pas mal au concept.

Le but du jeu étant d’enlever les buches de couleurs sous le petit castor qui pousse un petit bruit tout à fait désagréable et irritant si secoué.

J’ai profité d’avoir Emma et Jean-Paul à la maison pour étrenner le jeu, il y avait aussi Pookie mais elle paraissait passablement terrorisée par le cri du castor.



C’est le matin donc déjà ça prend un bon gros café


Emma en pleine concentration (grimace donc)


Au tour de Jean-Paul qui si je me souviens bien à essayé de tricher, comme d’hab’ ^^

C’est le fun quand même les jeux de société, merci les parents...



Petit bilan


Dans un premier temps je voudrais m’excuser de ne pas avoir mis à jour depuis un moment mon blog (j’entends déjà Emma et JP qui ricanent ^^). Mais il est vrai que j’ai été pas mal occupé et veut, veut pas, ça prends quand même du temps…

Après un peu plus de 2 ans içi au Québec (et de plus en plus en Ontario d’ailleurs) il est temps pour moi de faire un petit bilan de mon changement de cap initié j’en ai toujours l’impression, depuis moins longtemps que ça.

En général dans ce que je poste içi il s’agit surtout de faire partager toutes les niaiseries et nouvelles expériences que je peux faire et qui me font voir que la vie peut-être parfois bien différente de ce que l’on a «toujours connu». Aujourd'hui ce n’est pas que ça va être sérieux (c’est juste pas possible) mais à un moment il faut bien savoir d’où est ce que l’on viens et où l’on va.


Concernant la vie quotidienne.

Bien que les débuts au Québec ne soient pas faciles lorsque l’on arrive seul, cela reste l’expérience la plus enrichissante que j’ai eue dans ma vie à date. Je vais passer sur les formalités administratives qui restent très vite réglées si l’on est bien préparé.

Mais c’est surtout tout ce qu’il y a à découvrir qui laisse rêveur. En effet, j’ai trouvé du travail rapidement après être arrivé (fera l’objet d’une autre section), ce qui fais que je n’ai pas eu le temps de trop visiter non plus les « classiques » comme Toronto et Niagara Falls, la ville de Québec, la Gaspésie et le Québec d’une manière générale, c’est plate. Et encore je ne pense pour l’instant qu’a la partie « Est » du Canada car bien entendu si la devise Canadienne est :

A mari usque ad mare

D'un océan à l'autre

Ce n’est pas pour rien, c’est fou le nombre de choses qu’il y a à voir rien que d’y penser et les distances à parcourir pour faire le trip ça donne le vertige.

Cette envie de découvrir mon pays d’adoption est aussi la cause d’un de mes profonds regrets depuis que je suis arrivé. Je m’explique : Lorsque j’étais en France il y avait pas mal de choses que je voulais voir de la France ou dans certains pays européens comme l’Écosse ou les pays nordiques mais je n’étais pas pressé «J’ai le temps». Ben voyons, c’est alors que m’a pris l’idée il y a 4 ans et demi d’émigrer içi. Du coup ça va être pas mal plus dur maintenant ou du moins plus loin ^^. Donc petit conseil à 2 sous : Profitez de ce que vous voulez voir tant que vous l’avez sous la main.

Pour ce qui est du québécois (la langue) je l’ai dis à plusieurs reprises c’est pas mal mêlant et c’est un euphémisme… Que ce soit à cause du vocabulaire (appelez un seau, un seau et pas une chaudière tabarnak) ou de la grammaire type Anglo-saxone, disons le franchement au début c’est le gros bordel !!! Caractéristique de la région où je vis, l’Outaouais et Gatineau ma ville de résidence, c’est la proximité avec l’Ontario et la capitale du Canada, Ottawa (Et pas Vancouver ou Montréal pour les ignares LOL). Cette contiguïté fait que énormément de personnes travaillent pour le gouvernement fédéral à Ottawa et vivent dans Gatineau et ses alentours. La langue anglaise est donc omniprésente surtout dans certains quartiers. Beaucoup de termes anglais sont donc intégrés au québécois de l’Outaouais alors qu’il n’en est probablement pas de même pour beaucoup d’autres régions du Québec. Je n’ai pas vécu dans d’autres régions à part Montréal quelques mois et ce n’est pas vraiment un exemple au niveau francisation…

J’ai pas mal toujours rapidement intégré les expressions et termes des lieux où je vivais quand j’étais en France même après avoir pas mal déménagé et je me rends compte que parfois maintenant je me met à vraiment chercher le terme « Français de France » comme ils disent içi alors que le terme Québécois et même parfois Anglais me saute à l’esprit. Ce matin encore il m’a fallu une minute retrouver le terme « efficace » de l’anglais « efficient » et ça, ça m’arrive de plus en plus souvent, c’est bizarre parfois.

Ce qui est drôle aussi c’est lorsque je discute avec mes propriétaires qui eux m’ont connu à mon arrivée dans la région et qui me disent parfois que je suis rendu « Pas mal Québécois » par rapport aux expressions avec lesquelles je leur réponds.

Ensuite il y a l’accent, là je ne peux pas y faire grand’chose. Certains français aiment à forcer leur accent pour « ressembler » à l’accent québécois mais pour ma part j’aurais juste l’impression de les insulter donc je verrais ça un autre jour…

De plus, vu que justement j’avais pas mal bougé en France je n’ai pas d’accent typique d’une seule région et lorsque je rencontre des gens ayant circulé ou vécu en France ils savent bien que je suis français mais ne savent pas d’où et c’est toujours marrant à expliquer.


Pour ce qui est du travail

Comme dis un peu plus haut j’ai trouvé du travail en 3 jours quand je me suis mis à chercher, il est vrai qu’au Québec les diplômés avec expérience dans le domaine du traitement de l’eau sont pas mal recherchés ça fais plaisir ^^. En même temps ce n’était pas réellement une surprise étant donné que pour avoir plus de points lors de l’immigration il suffit d’avoir des compétences dans un domaine de « la liste des professions en demande » éditée par le Ministère de l’Immigration et des Communautés Culturelles (MICC), c’est extrêmement bien rodé comme système et n’en déplaise à certains réactionnaires comme on peut en trouver beaucoup en France, l’immigration choisie ça marche.

Petit bémol toutefois, si mes compétences en électrotechnique sont elles aussi recherchées et dans la liste il arrive parfois de devoir repasser par un certificat ou diplôme/examen québécois pour obtenir les cartes requises pour pouvoir exercer. Dans le domaine médical par exemple c’est pas mal plus compliqué de pouvoir exercer et beaucoup sont déçus de ne pas trouver vite de l’emploi dans leur domaine mais ce ne sont ni les exemples ni les renseignements qui manquent sur la toile pour préparer une immigration qui ai de l’allure. Pour ce qui est de mon propre cas je vais travailler dans l’eau et je verrais plus tard si le besoin se fait sentir de passer des cartes en élec.

Pour l’instant je travaille désormais pour une municipalité qui offre plus de perspectives d’avenir que l’entreprise privée pour laquelle j’ai travaillé lorsque je suis arrivé même si j’aimais beaucoup mon ancien poste.

Au niveau du travail il y a quelque chose de bien différent qu’il est important de noter. Içi si la perspective d’avenir n’est parfois pas très florissante dans certains domaines (c’est pas le cas du traitement de l’eau je vous rassure ^^) comme les pâtes à papier il n’est pas rare de voir des personnes de 40 ans ou même plus repartir dans des certificats ou diplômes dans une université pour retrouver facilement du travail. La facilité d’accès à des formations par des centres ou des universités est désarmante de simplicité : Tu peux aller en cours les soirs, fin de semaine ou cours par correspondance facilités. De plus, souvent cela va être « Emploi Québec » qui va payer pour la formation, les kilométrages et tout ce qui va avec. Tout ça bien entendu toujours pour un métier dans la « Liste des professions en demande », ils ne vont pas payer pour un secteur déjà plein tight. L’exemple ne peut pas être reconduit partout mais il à le mérite d’exister…



Vie sociale

Et oui ça prends ça une vie sociale pour éviter justement de devenir asocial ^^.

Je vais pas y aller par quatre chemins, arriver seul içi c’est la meilleure idée que j’ai jamais eu mais au tout début je n’avais qu’une envie c’est remonter dans l’avion et sacrer mon camp. Pas d’ami et pas de famille à moins de 6000 kms, je peux vous dire que les premiers jours je ne faisais pas le malin, bien loin de là.

Mais j’ai eu la chance de rencontrer rapidement par l’intermédiaire de Romain, Jean-Paul et Emma qui étaient dans la même situation que moi à deux jours près. Nous avons rapidement sympathisé car avions et avons beaucoup de centres d’intérêt en commun. Gros soutien de leur part lorsque je me suis retrouvé tout seul, merci encore à eux deux.

Par la suite ça a été la connaissance de Gilbert, Bérengère et leur tornade Victoria ^^. Mais vous avez pus voir ces personnes dans les nombreux posts précédents avec tout plein de photos compromettantes.

Mais il est vrai que j’ai eu deux soucis quand je suis arrivé en Outaouais :

#1 - Bah comme d’hab je connais personne, c’est plate…

#2 - Un boulot très intéressant mais extrêmement chronophage.

Dans un premier temps je me suis concentré sur le boulot mais au bout de quelques mois ça prenais de faire autre chose et rencontrer des gens. Donc je me suis pas mal mis au sport pendant mes temps libres dans un club qui serait comparable à un « Moving » que l’on peut trouver en France sans le coté club de rencontre ^^. Ensuite par l’intermédiaire du site internet « Meetup » (toujours pas un club de rencontres pour gens en excès d’hormones pour ceux qui se demandent ^^) j’ai pus rencontrer de nouvelles personnes dans divers groupes avec qui j’ai des centres d’intérêt en commun comme le sport (tennis, rando, etc…), visites de musées, films étrangers et bien sûr restos. De fil en aiguille il y a toujours des gens avec qui ont s’entends toujours mieux et avec qui on apprécie de passer de bons moments. Cherchez un peu en avant dans le blog et vous les trouverez, j’essaierai de poster des photos bientôt où nous ne sommes pas tous couverts à -40°C.

Paradoxalement je passe pas mal de temps du coté de l’Ontario alors que je vis au Québec mais cela à aussi l’avantage de me faire travailler l’anglais.

Pour m’occuper aussi je me suis pas mal plongé dans le sport, il y en a qui vont rire mais c’est pas drôle :-) . Le gym c’est à l’année avec patin sur glace et raquettes l’hiver (la pêche sur glace c’est pas vraiment un sport, plutôt une beuverie ^^) et avec la belle saison mountain bike, tennis et rollerblade. Croyez le ou pas mais ce sont 17 kilos que j’ai perdu depuis que je suis arrivé. Il faut dire qu’il y en a au moins dix qui sont partis rien que dans le fait de venir içi et au début de ne « pas être bien dans ses patins ».

Bien entendu rien ne remplace la famille qui me manque beaucoup, surtout lors d’évènements particuliers comme anniversaires, nouvel ans, Noël et j’en passe. Mais vivre loin de sa famille est une clause incluse dans le forfait « Immigration Canada », ça prend de faire des choix difficiles parfois mais ça les prends tout de même. D’ailleurs internet aide beaucoup pour maintenir le contact avec webcam, messengers divers et variés et courriels.

Je pense aussi aux amis laissés en France et à leur marmaille en pleine croissance, là aussi j’ai raté des évènements importants mais on ne peut pas être partout en même temps, c’est regrettable mais inévitable (J’ai bien reçu votre colis au fait ^^).

J’espère pouvoir faire un saut en France l’année prochaine pour voir tout le monde famille, amis, anciens collègues et amis de Gendarmerie, de Véolia, etc… L’air de rien on a vite fais de s’occuper 15 jours si on veut voir tout le monde ^^.



Donc finalement le bilan/retrospectif/introspectif n’était pas si petit que ça mais il faut parfois pas mal d’explications juste pour dire que tout va bien.

Une chose est sûre c’est que je prends le rythme de se qui se passe dans ma vie, toujours une étape à la fois ça ne sers à rien à mon sens de se précipiter. Prendre les choses comme elles viennent les laisser évoluer faire des choix le cas échéant.

J’ai parfois l’impression d’avoir pris plus de décisions les 2 dernières années que les trente premières de ma vie, une chose est sûre c’est qu’en venant içi j’ai fais le bon choix.